Selon le Baromètre 2019 de l’attractivité des très grandes métropoles françaises, publié par le cabinet Arthur Loyd, Lyon se positionne pour la 3e année consécutive en première position des aires urbaines de plus d’1 million d’habitants.

Lyon persiste et signe : 3 années de suite à la première place ! Des performances incontestables en ce qui concerne l’immobilier tertiaire et la capacité d’accueil des entreprises, symbolisées par les secteurs de la Part-Dieu et de Gerland, en pleine effervescence.

Une économie toujours solide et fortement créatrice d’emplois, marquée notamment par la richesse de son marché du travail et un taux de chômage au plus bas depuis 10 ans. La richesse de son offre culturelle et la diversité de son offre de formations lui permettent d’élargir le spectre de son attractivité.

Pouvoir de séduction

Un pouvoir de séduction indéniable et qu’on ne présente plus, mais attention aux bémols qui pourraient à terme enrayer la belle mécanique d’attractivité de la métropole. Par exemple, un cadre environnemental perfectible, marqué par un score en retrait du côté des surfaces de forêts et milieux semi-naturels ; citons également le coût relativement élevé du logement à l’acquisition, qui pourrait à terme peser sur l’attractivité de l’aire urbaine lyonnaise auprès des populations.

Pour Cevan Torossian, Directeur du département Études & Recherche d’Arthur Loyd « Lyon cumule les atouts face à ses concurrentes et incarne sans doute le mieux l’essor économique des grandes capitales régionales. La capitale des Gaules bénéficie aujourd’hui de la convergence du capital humain, de l’innovation, des entreprises, du développement d’aménités urbaines et d’une amélioration constante de son offre de transports en commun. Mais la création de plus de 108 000 emplois dans le secteur privé entre 2009 et 2018, et le gain de 145 000 habitants entre 2010 et 2016 sont sans doute les marqueurs les plus visibles du dynamisme et de l’attractivité de l’aire urbaine lyonnaise. »

Source Le Progrès, 7/11/2019

Et c’est tout le Grand Lyon qui en profite ! Cette attractivité bénéficie notamment au Val de Saône et au Beaujolais où la demande de logements est très tendue. Difficile aujourd’hui de trouver des biens correspondant à ses critères… à moins d’y mettre le prix.